L'article de Télérama sur le sujet conclue : "Le problème ce n'est pas le logiciel lui-même, mais l'usage que l'on en fait. Ça ne fait que valoriser une façon de penser, l'idéologie dominante: simplicité, efficacité, moindre coût."
Cette conclusion s'applique elle aussi au logiciel de la BI. En effet, lorsque qu'un non informaticien me demande à quoi sert la BI, je réponds "la BI a pour but de rendre intelligible les données que stocke une entreprise". Cet objectif est noble et nécessaire tant la quantité de données stockées est importantes. Hélas, les outils dont nous disposons ont les mêmes travers que les PPT. Ansi, les solutions uniquement "sexy" et rapide à mettre en place sont privilégiées à la mise en place de solutions viables et pertinentes, ses dernières nécessitant temps et réflexion donc argent.
Bonne comparaison avec la BI!
RépondreSupprimerUne remarque seulement, j'ai l'impression que ces choix du sexy pas cher et peu efficace sont principalement dût à la faible prise de risque (l'incompétence?) de la part des décideurs/chef de projet et/ou d'équipe.
Et par expérience je dirais que c'est presque la règle en France et l'exception aux us/russie et équivalent.
Le peu de valeur qu'à le secteur informatique en France est lié à cette non prise de risque de la part des ces personnes.
L'informaticien y est plus vu comme un singe sachant taper sur un clavier.
En gros nous savons très bien vendre, mais très mal choisir de vraie solution.
Ceci est également lié à l'existence des SSIIs dévalorisant le travail des développeurs.